«…C’est ainsi que nourrie par la turbulence de la nature, l’artiste est partie à la recherche d’une distanciation radicale et c’est dans ce contexte que l’acier et le bois déroulé ont fait irruption comme dispositif d’exploration. Les formes naturelle ont leur propre cohérence et elles sont fondamentalement éloignées des propriétés mécaniques et des images mentales que véhicule l’acier ou le bois déroulé.»… réf: Robert Prost, «Christiane Chabot, variations botaniques» 2001