Sculpter la nature avec les matières végétales qu’elle nous offre (feuilles, fleurs, pierres…) pour construire de nouveaux hybrides. Photographier ces éléments fragiles et éphémères pour saisir l’instant de leur métamorphose. Peindre, dessiner pour interpréter ces partitions de l’éphémère et leur donner un sens nouveau, une nouvelle nature. Sculpter ces mondes végétaux en les transposant dans l’acier, matériaux porteurs d’un temps long et d’un sens reconstruit, inattendu, à la limite de l’abstraction. Et puis… Marcher dans ce jardin transfiguré.