TRAVAIL IN SITU «…prendre place, être à l’écoute de l’espace, commencer à percevoir des pistes de matériaux, des brides d’objets et de lieux possibles. Et puis oser démarrer…poser un premier élément dans un site pour s’inscrire, s’enraciner comme si on avait toujours été là, pour ne pas être suspect, étranger et surtout pouvoir, à partir de ce déjà là, observer les premières pertubations et entamer une longue série d’itérations pour trouver place, le plus naturellement possible. Et puis, observer l’apparition des premières résonances entre les propositions et le contexte…» réf: «Christiane Chabot , variations botaniques» 2001