J’imagine que le bois de l’animal ainsi tombé après une vie rompue, s’est retrouvé dans un nouvel ordre. Il a connu vents et marées, ramassé au fil du mouvement mille feuilles d’or et accroché un autre comme lui, petit chevreuil, corail ; sa teinte s’est ennoblie des couleurs du feu et de la cendre, Il se retrouve ainsi en majesté sur le mur de celui qui a rêvé le conserver pour parler des beautés de la nature et du temps qui passe, du temps qui nous enseigne que le tout y est déjà contenu.